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Guérir n’est pas oublier : Et si on arrêtait de faire comme si tout allait bien ?

Nous avons tous connu ces moments où, derrière un sourire socialement acceptable, se cache un sac à dos émotionnel bien rempli. Peur, culpabilité, hontes, blessures, secrets de famille, non-dits… Tout y est, bien rangé, mais lourd.


On nous a souvent fait croire que guérir, c’était tout effacer. Oublier. Faire "comme si". Et pourtant, c’est tout l’inverse. Guérir, c’est faire de la place. C’est vivre plus léger avec ce qui a été mais sans en être écrasé.



Pourquoi nos valises émotionnelles sont plus lourdes que nos bagages cabine ?

Au fil des années, nous avons empilé les MAUX comme on accumule des souvenirs. Parfois, sans même nous en rendre compte.

Enfants, on apprend à être fort, à ne pas trop pleurer, à gérer. Et puis les expériences s’enchaînent : blessures d’égo, pertes, injustices, trahisons… Et comme on ne nous a pas appris à poser ces émotions, on les range. On les tasse. On fait "comme si".

Mais ce sac là, on le porte tous les jours. Il se manifeste en fatigue, en irritabilité, en angoisse ou en blocage.


Spoiler alerte : on ne devient pas plus fort en portant tout. On devient juste plus fatigué.



Ce n’est pas le passé qui pèse, c’est tout ce qu’on n’en dit pas.

Il ne suffit pas de tourner la page quand le chapitre est resté en suspens. Nos douleurs non exprimées ne disparaissent pas. Elles se transforment. En maladies, en tensions chroniques, en auto-sabotage. Le corps, lui, n’oublie rien. Il parle pour nous quand nous ne parlons pas.


Et ce poids, souvent, ne vient même pas que de nous. Il est hérité. Bienvenue dans le transgénérationnel : ces croyances, ces schémas, ces répétitions de scénarios qui ne nous appartiennent pas mais que nous portons quand même.

Et si c’était le moment de vérifier si ce sac émotionnel est vraiment le nôtre ?



Un pas à la fois… mais dans la bonne direction.

Guérir, ce n’est pas une course. C’est une révolution personnelle.

Cela commence souvent par un premier geste : celui d’oser en parler, oser regarder ce qui fait mal, oser demander de l’aide.

Puis viennent les étapes : mettre des mots sur les émotions, accueillir ce qui a été, redonner du sens, se libérer de ce qui ne nous sert plus.


On passe alors de survivre à vivre. Et, peu à peu, on se sent plus libre, plus aligné, plus léger.

C’est un processus. Parfois remuant, parfois joyeux mais toujours transformateur.



Prêt-e à alléger notre sac ?

Nous n’avons pas à oublier pour aller mieux. Nous avons à regarder, comprendre, transformer.

Et c’est justement ce que je vous propose dans mes accompagnements. Dans un espace sûr, bienveillant et même joyeux !


Qu’avez-vous encore peur de porter seul-e ?

Qu’est-ce que votre corps vous murmure depuis trop longtemps ?

Et si c’était le bon moment pour faire le point ?


Parce que guérir, c’est reprendre la légèreté.



 
 
 

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